La République démocratique du Congo (RDC) est confrontée à une épidémie mystérieuse qui a déjà coûté la vie à 27 personnes en l’espace d’un mois.
Samuel-Roger Kamba, le ministre de la Santé, a déclaré jeudi que le pays est en « alerte maximale » et doit surveiller cette situation comme une épidémie nécessitant une vigilance accrue. Les autorités cherchent à identifier rapidement la nature de cette maladie pour éviter sa propagation.
Cette crise sanitaire révèle les failles du système de santé congolais, souvent en difficulté en raison d’un manque de financement et de ressources adéquates. Les efforts pour établir un diagnostic précis et mettre en place des mesures de prévention efficaces sont une priorité.
Dans un contexte plus large, d’autres événements politiques retiennent l’attention en Afrique. Au Ghana, la préparation des meetings électoraux pour l’élection présidentielle est marquée par des tensions internes et des défis économiques majeurs.
De son côté, le Togo annonce des élections sénatoriales pour le 2 février 2025, une première depuis la mise en place de sa nouvelle Constitution en mai. Cette réforme a instauré un régime parlementaire, où le président n’est plus élu directement mais désigné par le Parlement. Le pouvoir exécutif est désormais exercé par le Président du Conseil des ministres, issu du parti majoritaire, sans limitation des mandats.
Ces événements témoignent des enjeux politiques et sanitaires auxquels l’Afrique centrale et de l’Ouest doit faire face, nécessitant des actions coordonnées et efficaces des gouvernements et des institutions régionales.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Activiste
Mis en ligne : 14/12/2024
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