Article écrit par le créateur de contenu : Erika.
Depuis la première élection d’Emmanuel Macron à l’Élysée en 2017, des rumeurs affirmant que Brigitte Macron était une femme transgenre se sont propagées. Jeudi 12 septembre 2024, deux femmes ont été condamnées pour diffamation envers la Première Dame.
Totalement inconnue du grand public il y a encore quelques années, Brigitte Macron est devenue une personnalité de premier plan en France. Pour rappel, cette ancienne enseignante est officiellement devenue la Première Dame suite à l’élection de son conjoint, Emmanuel Macron, au poste de président de la République en 2017.
Un statut symbolique que Brigitte Macron devrait conserver jusqu’à la fin du second mandat de son compagnon en 2027. Comme de nombreuses personnalités publiques, la Première Dame a vu plusieurs rumeurs se propager à son sujet ces dernières années. L’une d’entre elles affirme notamment qu’elle serait en réalité un homme.
Cette fameuse rumeur s’est principalement répandue suite à la diffusion d’une longue interview de plus de quatre heures sur YouTube en 2021. Dans l’entretien en question, deux femmes se sont principalement exprimées : Amandine Roy et Natacha Rey. La première se décrit comme étant « médium », tandis que la seconde affirme être une « journaliste indépendante autodidacte ».
Durant cette fameuse interview, Natacha Rey avait notamment prononcé les mots tromperie, escroquerie et mensonge d’État au moment d’évoquer la rumeur affirmant que Brigitte Macron était initialement un homme qui a ensuite changé de sexe. Finalement, les deux femmes ont été poursuivies en justice pour diffamation par la Première Dame.
Jeudi 12 septembre 2024, elles ont finalement été condamnées, comme l’a confirmé le parquet de Paris à franceinfo. Les deux accusées ont ainsi écopé d’une amende de 500 euros avec sursis. Elles devront également verser un montant total de 8 000 euros à Brigitte Macron en guise de dommages et intérêts. Amandine Roy et Natacha Rey ont également été condamnées à verser 5 000 euros au frère de la Première Dame, Jean-Michel Trogneux.
Pour rappel, l’épouse et le beau-frère étaient tous deux parties civiles au procès, qui s’est déroulé au mois de juin 2024. Un procès auquel Brigitte Macron n’a pas assisté. La Première Dame n’était d’ailleurs pas non plus présente au sein du tribunal correctionnel de Paris lorsque les juges ont rendu leur décision dans cette affaire.
Article écrit par le créateur de contenu : Erika.
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