Nous avons remarqué ces derniers temps une augmentation des cas de viols au sein des campus sociaux. Cette situation écœurante a toujours existé, et aucune solution n’a encore été trouvée pour l’éradiquer.
Les viols, les harcèlements sexuels et les attouchements sont fréquents dans les campus, et sont parfois banalisés car on préfère les dissimuler ou négocier, plutôt que de dénoncer lvigilancees coupables pour qu’ils subissent la sanction méritée.
Malheureusement, certains commettent ce crime, tandis que d’autres, après une tentative de viol, s’échappent. C’est cette négligence de la gravité de l’acte qui encourage les autres à s’y aventurer. Nous savons que, s’il s’agissait d’un meurtre, cela ferait l’actualité des médias, et les enquêtes seraient plus rigoureuses.
Par contre, lorsqu’il s’agit de viol, on ne lui accorde pas l’importance qu’il mérite, alors que le viol est un crime comme un autre. Il détruit des vies, et ses conséquences peuvent être désastreuses : imaginons une jeune fille qui tombe enceinte à la suite d’une violence sexuelle, et qui cherche à se débarrasser de cette grossesse indésirable… les répercussions vont bien plus loin.
Récemment, il y a eu une tentative de viol dans le campus de l’ESP, et le coupable déféré a affirmé avoir été attiré par la beauté de la fille. Mais la question que nous nous posons, en tant qu’étudiantes logeant au campus, est la suivante : qu’est-ce qu’il faisait dans le couloir des filles, jusqu’à même entrer dans leur chambre, sous prétexte qu’il cherchait son ami, un certain Fred ? En plus, il y a eu deux cas de viols, ainsi que d’autres plus anciens, et même des violences sexuelles dissimulées car, selon certains parents, ils craignent de ternir la réputation et la dignité de leur fille.
Je trouve qu’il y a beaucoup trop de liberté dans les campus, trop de mixité entre les étudiants et les étudiantes. Cela doit cesser. Le campus ne devrait pas être un marché ; il faut une organisation stricte et rigoureuse. Les étudiants ne devraient pas avoir accès aux couloirs des filles, et vice versa. Je parle en connaissance de cause. Je sais que plus les hommes ont accès aux logements des filles, plus ils sont tentés de les harceler sexuellement.
Le cas de la tentative dont j’ai parlé montre que l’homme est entré dans la chambre de la fille et l’a trouvée seule en train de dormir. On note ainsi une certaine négligence de la part des étudiantes, et aussi un excès de liberté pour les étudiants. Il faut plus de vigilance et de rigueur. Ces étudiants qui habitent ensemble n’ont pas de liens familiaux ; chacun vient avec son éducation, ses principes et sa personnalité. Pour une meilleure cohabitation, il est nécessaire de fixer des limites et une réglementation stricte, car la liberté des étudiants ne devrait pas empiéter sur celle des étudiantes.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Myta
Mise en ligne : 09/10/2024
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