L’éducation sexuelle complète, qui couvre des sujets allant de la puberté à la contraception et aux relations saines, réduit les taux de grossesses non désirées, de maladies sexuellement transmissibles (MST) et d’abus. Elle donne aux jeunes les connaissances nécessaires pour faire des choix informés et responsables. Dans les régions où l’avortement est restreint ou criminalisé.
De nombreuses femmes et filles recourent à des méthodes non sécurisées et clandestines, souvent sans surveillance médicale. Cela augmente les risques de complications graves, y compris les infections, les hémorragies, et parfois même la mort.
Les interdictions strictes d’avortement n’éliminent pas le recours à l’avortement. Au contraire, elles poussent les femmes à des pratiques dangereuses et non réglementées. Selon l’OMS, la majorité des avortements non sécurisés ont lieu dans des pays où l’avortement est restreint.
Dans les pays où l’avortement est légal et bien encadré, les complications de santé sont considérablement réduites. Cela montre que l’accès à des services d’avortement sécurisés est autant une question de santé publique qu’un droit.
En enseignant la contraception et l’autonomie corporelle, l’éducation sexuelle réduit la nécessité de recourir à des avortements, surtout chez les jeunes. Elle aide à prévenir les grossesses non désirées et favorise une meilleure santé reproductive pour tous.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Une Sage
Mis en ligne : 04/11/2024
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