Donald Trump annonce le retour de Tom Homan, le tsar des frontières, à la tête de l’agence américaine de l’immigration.
Le président des États-Unis s’apprête à nommer à la tête de l’agence américaine de l’immigration Tom Holland, qui a déjà occupé ce poste pendant 4 ans durant le premier mandat de Donald Trump, l’actuel président de la République des États-Unis.
« J’ai un message pour les milliers d’étrangers illégaux que Joe Biden a libérés dans notre pays : vous devriez commencer à faire vos valises maintenant. » Telles sont les propos que Tom Homan a adressés aux étrangers « illégaux ».
Lors d’une entrevue, il a été interrogé sur l’avenir des enfants qui sont citoyens américains et qui devraient retourner dans des pays qu’ils ne connaissaient pas.
« Ce sont les parents qui ont provoqué cette crise à l’origine. » Ce à quoi répond l’homme de 62 ans, Tom Homan.
Entré au service de l’immigration en 1984 étant agent de la police aux frontières, Il aura la tâche d’appliquer le programme de « déportation de masse » promis par Donald Trump.
Interrogé dans le même interview d’octobre sur la manière dont les déportations seraient menées, Homan a répondu : « Il ne s’agira pas d’un ratissage massif des quartiers. » Il ne s’agira pas de construire des camps de concentration. J’ai tout lu. C’est ridicule.
« Il s’agira d’arrestations ciblées ». « Nous saurons qui nous allons arrêter, où nous avons le plus de chances de les trouver, en fonction de nombreux processus d’enquête », a-t-il ajouté. Homan a joué un rôle dans la politique controversée de tolérance zéro de Trump, qui a séparé des milliers d’enfants migrants de leurs parents.
Cette politique a suscité des réactions négatives lorsque des enfants ont été envoyés dans des refuges tandis que leurs parents étaient poursuivis sans aucun plan pour les réunir.
Homan a déclaré qu’il n’avait pas rédigé la note de politique générale qui a conduit aux licenciements, mais qu’il était l’un des trois responsables qui l’ont signée. Il a déclaré l’avoir signée « dans l’espoir de sauver des vies ». Il a indiqué qu’il ne chercherait pas à rétablir cette politique.
Il a plutôt déclaré que les familles pourraient être « déportées ensemble », lorsqu’on lui a demandé si les déportations pouvaient être effectuées sans séparer les familles.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Chanah
Mis en ligne : 18/11/2024
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