Bordel, ce mec est le maître de la terreur dans le monde, le chaos incarné. Joe Biden, ce président qui s’apprête à céder sa place à Donald Trump, se permet de nous faire un discours larmoyant sur l’état du monde, en se donnant des airs de sauveur. Il nous parle de l’Amérique « rassemblant les pays », comme si c’était un exploit de faire la guerre et de semer la destruction partout où ils passent.
Biden ne cesse de se vanter de sa politique étrangère, en particulier du soutien à l’Ukraine, mais franchement, qui y gagne vraiment dans cette histoire ? Pas les Ukrainiens, pas les innocents qui souffrent à Gaza, mais bien les multinationales et l’élite américaine.
Il ose dire que les États-Unis sont « en tête dans la compétition internationale », mais pour qui se prend-il ? Depuis son arrivée à la Maison Blanche, Biden a exacerbé les tensions internationales, multiplié les interventions militaires et les sanctions économiques. Et maintenant, il se permet de faire le bilan comme si tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Il affirme que l’Amérique est plus forte, mais à quel prix ? En envoyant des milliards pour entretenir des guerres qui ne finiront jamais ? En créant des divisions dans chaque coin du globe ?
Et qu’est-ce qu’il nous raconte à propos de la Chine ? Comme si ces prévisions économiques étaient la vérité absolue. Non, Monsieur Biden, ce ne sont pas des prévisions, ce sont des illusions pour masquer l’incapacité des États-Unis à réellement dominer le monde sans force militaire ou pression économique. Son arrogance face à la Chine, la grande rivale, est risible. Il s’imagine que le pays sera toujours derrière, mais, dans le fond, c’est l’Amérique qui a tout à perdre si elle continue sur cette voie de confrontation aveugle.
L’Ukraine, bien sûr, encore et toujours. Biden insiste sur le fait que Vladimir Poutine a échoué à ses objectifs militaires, comme si cette guerre n’était pas une tragédie humaine avant tout. Qu’a-t-il fait pour résoudre cette situation ? Rien de plus que de continuer à alimenter le conflit, à envoyer des armes et des fonds, tout en prétendant être un héros. Il ose même se vanter d’être allé à Kiev, comme si sa visite ne servait qu’à aggraver encore une situation déjà catastrophique.
Quant à Gaza, ce qu’il nous annonce sur la fin de la guerre, c’est de la poudre aux yeux. Les gens meurent chaque jour et il se permet de dire qu’un cessez-le-feu est « sur le point » d’être signé. Mais pourquoi ne l’a-t-il pas fait plus tôt ? Pourquoi les États-Unis continuent-ils de soutenir un régime israélien qui ne cesse d’agresser les Palestiniens, tout en prêchant des vertus de paix et de diplomatie ? Biden est un hypocrite, un vendeur de rêves avec du sang sur les mains.
Et cette tirade sur le changement climatique, sérieusement ? C’est presque comique qu’il parle de la « plus grande menace pour l’humanité » quand les États-Unis sont les plus grands pollueurs du monde, quand leur consommation effrénée de ressources naturelles a mené à cette catastrophe climatique. Mais bien sûr, il faut bien pointer du doigt les autres, comme Trump, le climato-sceptique. Biden n’a aucune légitimité à critiquer quoi que ce soit. Il n’a fait que maintenir les politiques qui ont mis la planète en péril.
Biden peut bien clamer que son héritage est un succès, mais ce n’est qu’un masque pour cacher l’échec monumental de sa politique étrangère et intérieure. Derrière ses discours de façade, il y a des guerres sans fin, des vies détruites et un monde qui va droit dans le mur.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Anonyme
Mis en ligne : 16/01/2025
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