Le Sénégal change de cap, et ce changement porte un nom : Ousmane Sonko. En réaffirmant devant les investisseurs que notre pays est stable, sécurisé et ouvert aux partenariats stratégiques, le Premier ministre pose un acte fort.
Mais il va plus loin qu’une simple opération de séduction économique. Il rappelle à tous que le développement ne peut être le fruit que d’un projet souverain, maîtrisé par les Sénégalais eux-mêmes.
Dans une Afrique trop souvent fragilisée par des choix dictés de l’extérieur, voir un chef de gouvernement assumer la responsabilité d’un État fort, intègre et digne mérite d’être salué. Ce n’est pas qu’un discours rassurant pour les capitaux ; c’est une déclaration d’indépendance politique et économique. Ousmane Sonko oppose une vision claire à la résignation et à la dépendance chronique aux bailleurs internationaux.
Les fondements de ce projet sont clairs : stabilité institutionnelle, justice sociale et transparence. Cela ne relève pas de la rhétorique politique habituelle, mais d’un engagement profond à rebâtir la confiance entre les citoyens, l’administration et les investisseurs. Et cela passe par des réformes concrètes : lutte contre la corruption, simplification des démarches, encouragement à l’initiative locale. On ne construit pas un pays en restant prisonnier des logiques néocoloniales.
Ce que propose le gouvernement, c’est un partenariat équilibré, fondé sur le respect mutuel. Il ne s’agit pas d’attirer les investissements à tout prix, mais de créer de la richesse pour et par les Sénégalais. Cette ambition de justice économique, longtemps étouffée par une élite complice des pillages, trouve aujourd’hui un porte-voix légitime. Le message est clair : le Sénégal n’est pas à vendre, mais prêt à bâtir avec ceux qui croient à sa capacité de se hisser par ses propres forces.
Ousmane Sonko incarne aujourd’hui une nouvelle manière de gouverner. Il rassure parce qu’il inspire confiance, non pas par la soumission, mais par la cohérence de ses engagements. Le Sénégal se relève, non dans la discrétion, mais avec fierté, détermination et un cap assumé. C’est cette posture de fermeté et de clarté qui fera la différence dans les années à venir pour les investisseurs, certes, mais d’abord pour le peuple.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Cheikh Ndiaye.
Mis en ligne : 30/05/2025
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