Le choc a été brutal, mais surtout symbolique : des avions de chasse chinois, les J-10C, ont abattu trois Rafale indiens de fabrication française. Cette opération, en apparence tactique, revêt en réalité une dimension stratégique majeure. Pour la première fois, la supériorité chinoise affirmée s’est imposée dans un conflit réel entre deux puissances nucléaires, bouleversant les équilibres régionaux et jetant le trouble dans les capitales occidentales.
L’épisode est survenu dans le cadre d’une nouvelle flambée de tensions entre l’Inde et le Pakistan, après un attentat meurtrier dans le Cachemire. En réponse à l’opération indienne Sindoor, le Pakistan, équipé par la Chine, a riposté avec une précision redoutable. Si l’on en croit les déclarations du ministre pakistanais des Affaires étrangères, les J-10 ont neutralisé plusieurs Rafale. Un fait qui renforce la supériorité chinoise affirmée dans le ciel asiatique.
Cette scène inédite a pris de court non seulement l’armée indienne, mais aussi les chancelleries occidentales. Jusqu’ici, l’Inde apparaissait comme le partenaire stratégique de choix pour contenir l’influence de Pékin. Mais voilà que l’arsenal chinois, longtemps considéré comme secondaire, démontre sur le terrain son efficacité. Une supériorité chinoise affirmée, qui s’exprime désormais dans les rapports de force concrets.
Les implications sont multiples. D’un côté, Islamabad sort renforcé d’un affrontement où il était censé jouer la défensive. De l’autre, Pékin engrange un capital d’influence géopolitique inédit. Désormais, chaque démonstration de force de l’armée chinoise en Asie ne pourra plus être ignorée ou minimisée. La supériorité chinoise affirmée devient un fait militaire, et non plus une hypothèse de think-tank.
Certes, certains observateurs appellent à la prudence. Le système antiaérien HQ-9, également chinois, n’a pas su intercepter les missiles Scalp indiens. Et les experts rappellent que l’efficacité d’un armement dépend aussi de la formation des soldats, de la doctrine militaire, du renseignement. Mais malgré ces limites, la supériorité chinoise affirmée dans l’aérien et la production d’armement de nouvelle génération est aujourd’hui un marqueur fort de la recomposition stratégique asiatique.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Pape Ndiaye.
Mis en ligne : 02/06/2025
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