Dans une société où les relations entre belles-mères et belles-filles sont souvent teintées de tensions, certaines histoires dépassent l’entendement. Aïssatou (nom d’emprunt), une jeune femme sénégalaise mariée depuis quelques années, a choisi de briser le silence. Elle raconte, le cœur lourd, le cauchemar qu’elle vit avec sa belle-mère, une femme dont la bienveillance apparente cache des pratiques mystiques inquiétantes.
Tout a commencé peu après son mariage. « Ma belle-mère ne m’a jamais acceptée », confie Aïssatou. « Elle me reprochait de ne pas être vierge lors de mon mariage avec son fils. Elle me le faisait comprendre par des insultes voilées, des humiliations quotidiennes, un mépris glacial… Je pensais que c’était juste une forme de rejet ordinaire comme beaucoup de belles-filles en vivent. »
Mais il y a deux mois, une découverte glaçante est venue bouleverser ses certitudes. À l’occasion du mariage du frère cadet de son mari, elle accepte, à contrecœur, de se rendre au village familial. « Ma belle-mère ne voulait jamais me voir, ni moi ni mes enfants. Mais mon mari m’a suppliée d’y aller. J’ai cédé par respect pour lui et pour son frère, qui a toujours été aimable avec nous. »
Ce qu’elle découvre là-bas dépasse l’imaginable. Une nuit, en se rendant dans la cour arrière pour satisfaire un besoin pressant, Aïssatou surprend une conversation entre sa belle-mère et un féticheur. Ce qu’elle entend lui glace le sang.
« Elle disait que sa nouvelle belle-fille était vierge, et que grâce à ça, elle allait pouvoir “tirer sa vie petit à petit” pour prolonger la sienne. Elle parlait comme si la virginité de ces femmes était une monnaie d’échange mystique… C’était horrible. Je n’ai pas pu me contenir, j’ai crié. Elle m’a suivie aussitôt, mais j’avais déjà fui. »
Depuis cette nuit, le comportement de sa belle-mère a radicalement changé. Gentille, attentionnée, presque maternelle. « Mais je sais pourquoi », affirme Aïssatou. « Elle veut que je garde le silence. Elle joue à l’innocente, mais je connais son secret. Elle ne pourra plus me manipuler. »
Son témoignage met en lumière un sujet tabou : l’usage de pratiques mystiques dans certaines familles, mêlées à des croyances sur la pureté féminine et la soumission aux normes patriarcales. La virginité de la femme y est vue non pas comme un choix personnel ou une question d’intimité, mais comme un pouvoir à capter, à exploiter, voire à sacrifier.
« Elle m’a dit un jour qu’elle n’avait rien à voir avec moi ni avec mes enfants, parce que je n’ai pas épousé son fils vierge. Mais était-ce le cas pour lui ? Pourquoi cette obsession ? » s’interroge-t-elle avec amertume.
Aïssatou espère que son témoignage servira d’alerte. « Il se passe des choses sombres dans certaines maisons. Il faut être vigilant, surtout nous les femmes. Derrière les sourires peuvent se cacher des intentions terrifiantes. »
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Anonyme.
Mis en ligne : 02/08/2025
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