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L’affaire des fonds Force Covid-19 a récemment pris un tournant décisif avec le non-lieu accordé à Aliou Sow, ancien directeur de l’Administration générale et de l’équipement (DAGE) au ministère du Développement communautaire. Cette décision de justice, loin d’être un simple épilogue, démontre que notre système judiciaire peut faire preuve d’impartialité, même face à des pressions médiatiques intenses.
L’affaire des fonds Force Covid-19 a suscité une attention médiatique considérable, alimentée par des accusations de détournement de deniers publics et de blanchiment de capitaux, notamment en lien avec des surfacturations sur des commandes de riz. Aliou Sow, en tant qu’ancien DAGE, s’est retrouvé au cœur de cette tourmente, exposé à des critiques acerbes et à des jugements hâtifs. Cependant, la décision du doyen des juges d’instruction, qui a prononcé un non-lieu en sa faveur le 31 octobre 2025, vient remettre en question la narrative dominante.
La décision de la justice ne doit pas être perçue comme un simple dénouement, mais plutôt comme une affirmation de l’intégrité de notre système judiciaire. Dans un contexte où les médias et l’opinion publique peuvent parfois précipiter des verdicts, le non-lieu accordé à Aliou Sow est un acte courageux qui souligne la nécessité de respecter le principe de la présomption d’innocence. Comme un arbre qui, malgré les tempêtes, reste enraciné dans le sol, la justice a su résister aux vents contraires des accusations non fondées.
Premièrement, cette décision démontre que le système judiciaire n’est pas influencé par les rumeurs et les spéculations. Elle rappelle que chaque individu mérite un procès équitable, indépendamment de son statut ou de son passé. Deuxièmement, elle ouvre la voie à une réflexion plus large sur la responsabilité médiatique. En effet, il faut que les journalistes et les commentateurs prennent conscience de l’impact de leurs mots. Comme un architecte qui bâtit un édifice, chaque mot peut construire ou détruire des vies.
Le non-lieu accordé à Aliou Sow est un symbole fort de la résilience de notre justice. Dans un monde où la pression médiatique peut parfois mener à des jugements hâtifs, cette décision prouve que la vérité peut l’emporter sur les préjugés. Elle souligne également que la justice est un processus, et non un spectacle. Nous devons célébrer cette impartialité, car elle est le fondement même de notre démocratie. La justice, comme un phare dans la nuit, guide nos sociétés vers un avenir plus juste.
Pour renforcer cet argument, il est pertinent de rappeler que d’autres affaires similaires ont vu des personnalités publiques condamnées sur la base d’accusations infondées, avant d’être finalement blanchies. Ces exemples montrent que la précipitation peut conduire à des injustices. De plus, des études ont démontré que la couverture médiatique peut influencer les décisions judiciaires, ce qui rend d’autant plus précieux le non-lieu accordé à Aliou Sow.
Le non-lieu accordé à Aliou Sow est une victoire pour la justice, un rappel que notre système judiciaire peut résister aux pressions extérieures. Il est impératif de reconnaître cette impartialité et de soutenir une justice qui se tient ferme face aux tempêtes médiatiques. Nous devons tous nous engager à défendre ce principe fondamental, car la justice est le pilier de notre société.
Je vous invite, chers lecteurs, à réfléchir sur l’importance de l’impartialité judiciaire et à soutenir les valeurs qui garantissent une justice équitable pour tous. Engageons-nous ensemble pour un avenir où chacun, peu importe son statut, peut bénéficier d’une justice juste et impartiale.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Djiby T.
Mis en ligne : 16/11/2025
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