La justice est fortement critiquée et nécessite une refonte totale. La situation actuelle du procès est une honte nationale.
D’après moi, des personnes cherchent à nuire à un opposant politique en utilisant une jeune fille peu fiable et manipulée pour porter de fausses accusations de viol.
Cette accusation est grotesque et le rôle d’Adji Sarr ne lui convient pas du tout.
Cependant, les initiateurs de ce projet persistent dans le but de détruire sa carrière politique et de freiner son soutien populaire qui ne cesse de croître.
Ousmane Sonko est très apprécié par les Sénégalais, malgré le refus du pouvoir de reconnaître cette réalité.
Le régime a peur de son succès et cherche à tout prix à l’éliminer, même en se salissant les mains.
Malgré les persécutions constantes, Sonko reste fort et ressurgit encore plus déterminé. Il aborde chaque épreuve comme une bénédiction en tant que croyant.
L’ouverture et le déroulement du procès ont clairement montré à tous que notre système judiciaire est en déclin. La justice a perdu son humanité et son prestige.
Elle a été phagocytée par le régime et utilisée pour éliminer les personnes gênantes.
Adji Sarr, une véritable mythomane, et son avocat, Maître Diouf, qui se contente de faire le spectacle devant les caméras, se sont ridiculisés devant les Sénégalais.
Mis à part quelques soutiens motivés par l’appât du gain, Adji est seule.
Ses mensonges répétés ont discrédité sa parole.
Ce combat orchestré par des individus proches du régime est devenu un poison pour eux.
Ce procès n’aurait pas dû avoir lieu dans un pays respectueux de la justice.
Un dossier vide de viol présenté devant la cour criminelle est une situation unique au Sénégal.
La prochaine étape devrait être le procès des comploteurs afin que la justice puisse retrouver une certaine crédibilité perdue.
Tous les comploteurs méritent d’être punis s’ils sont jugés équitablement et impartialement.
Ceux qui avaient des doutes sont maintenant convaincus qu’un viol nécessite des preuves tangibles, et non un récit pornographique prononcé par la partie civile.
Adji Sarr et ses soutiens ne seront pas pardonnés par les Sénégalais pour les erreurs qui ont coûté la vie à plus de quatorze de nos compatriotes.
Article écrit par le contributeur : Eric Gomis
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