Abdourahmane Diouf a adressé une demande au Conseil Constitutionnel, sollicitant un nouveau tirage au sort pour déterminer l’ordre de passage des candidats autorisés à la deuxième phase de contrôle des parrainages.
Selon lui, la décision du Conseil constitutionnel précise le tirage au sort dans l’article 7, mais cet article concerne uniquement la première phase de régularisation, sans mentionner le même ordre pour la deuxième phase. Abdourahmane Diouf souligne qu’il serait injuste…
… que certains aient eu l’avantage de passer en premier, d’obtenir les résultats avant les autres, et de collecter les parrainages avant, pour ensuite être les premiers à régulariser, risquant ainsi que les autres candidats récoltent les doublons.
Il précise que cette démarche n’est dirigée contre personne, mais vise à assurer la fluidité, la transparence et l’équité du processus électoral. En tant que candidat, il a écrit au président du Conseil constitutionnel pour proposer l’organisation d’un deuxième tirage au sort pour les vingt candidats se qualifiant pour la deuxième phase, considérant que cela serait beaucoup plus équitable.
Article écrit par : Eva Diatta
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