Article écrit par le créateur de contenu : AMS.
La lancinante question de l’emploi des jeunes a toujours été au premier plan des préoccupations des dirigeants Sénégalais.
Toutefois, depuis les Indépendances jusqu’à nos jours, les gouvernements successifs à la tête du pays n’ont pas réussi à apporter des solutions concrètes à ce problème majeur.
Les nouvelles autorités du pays ont du pain sur la planche, vu les énormes attentes de la population sénégalaise, et parmi ces attentes, il y a le règlement de la question de l’emploi des jeunes. Le chômage des jeunes constitue une potentielle source de tensions sociales et politiques.
Le régime sortant en a fait les frais. Il faut rappeler que la population Sénégalaise est majoritairement jeune. Cette jeunesse a beaucoup d’aspirations, et de ce fait, elle est prête à braver la mer avec ses périples pour aller chercher la réussite.
Ainsi, lorsque les échecs et les déceptions deviennent monnaie courante, ils peuvent verser dans la radicalité et la violence. Les violences politiques sans précédent que le Sénégal a connues ces dernières années montrent à suffisance l’échec des politiques d’emploi mises en place depuis les indépendances jusqu’à nos jours.
Le duo Diomaye-Sonko suscite beaucoup d’espoirs chez les jeunes Sénégalais qui ont porté le combat pour le triomphe de leur projet. Des politiques d’emploi sérieuses et bien réfléchies sont urgentes pour aider les jeunes à trouver des emplois décents avec des salaires dignes de ce nom.
Lorsque les jeunes trouvent des emplois dignes de ce nom, ils n’auraient pas besoin de verser dans la délinquance ni dans la violence. En plus, ils seraient difficilement manipulés par des politiciens opportunistes peu soucieux de leur sort.
Ainsi, pour permettre aux jeunes d’avoir des emplois décents, il sera crucial de les former aux nouvelles professions émergentes, notamment les métiers de l’intelligence artificielle.
Une formation solide de la jeunesse permettra à notre pays de disposer de ressources humaines qualifiées capables d’occuper des postes importants dans n’importe quel domaine et de participer au développement du pays.
La confiance que les jeunes ont envers les nouveaux dirigeants doit être un atout pour les pousser à mouiller le maillot et à travailler d’arrache-pied à mettre en place des politiques d’emploi dignes de ce nom, qui ne se limitent pas à des slogans souvent irréalisables ou utopiques.
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