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Récemment, le procureur de la République de Dakar, Ibrahima Ndoye, a intensifié sa chasse aux injures et aux discours inappropriés sur les réseaux sociaux, particulièrement sur TikTok. Après l’arrestation d’Adji Mass, la mère de Mame Ndiaye Savon a également été placée en garde à vue pour des injures publiques. À première vue, cela pourrait sembler sévère, mais je suis ici pour vous dire que ces sanctions envoient un message positif sur la responsabilité individuelle. Oui, mesdames et messieurs, il faut de réfléchir avant de publier !
Dans un monde où la liberté d’expression est souvent brandie comme un étendard, il est essentiel de rappeler qu’elle est aussi une épée à double tranchant. Le procureur Ndoye et les juges de Dakar ne sont pas là pour jouer les arbitres d’un cirque, mais pour s’assurer que les utilisateurs de TikTok ne se transforment pas en clowns. Les récents jugements, comme ceux d’Azoura Fall et de son acolyte Kairé, qui ont écopé de six mois avec sursis, montrent que la justice n’est pas un concept abstrait, mais une réalité bien ancrée.
L’article d’origine met en lumière une réalité peu plaisante pour certains : les réseaux sociaux ne sont pas un terrain de jeu sans règles. La mise en garde à vue de la mère de Mame Ndiaye Savon illustre la volonté du procureur de frapper fort. Et soyons honnêtes, ces sanctions sont comme des panneaux stop sur une route de campagne : parfois, il faut ralentir et réfléchir avant d’accélérer. Les juges, en prononçant des peines allant jusqu’à un an de prison pour certains, rappellent que chaque mot publié peut avoir des conséquences.
Il est normal de comprendre que ces décisions judiciaires ne sont pas simplement des mesures répressives, mais des opportunités d’éduquer. Qui aurait cru qu’un simple TikTok pourrait se transformer en un véritable tribunal de la morale ? Comme le dit le proverbe, « mieux vaut prévenir que guérir ». En incitant les créateurs de contenu à réfléchir avant de publier, les juges contribuent à une culture numérique plus saine. Dans un monde où une vidéo peut devenir virale en un clin d’œil, il faut se rappeler que chaque publication est comme une flèche tirée : une fois lancée, elle ne peut être rappelée.
Adopter un ton humoristique et ironique face à cette situation peut sembler paradoxal, mais c’est justement ce qui la rend encore plus pertinente. Imaginez un instant que TikTok soit un grand bal masqué. Si vous arrivez déguisé en méchant, ne soyez pas surpris si les juges vous retirent votre masque ! Les sanctions ne sont pas là pour brider la créativité, mais pour encourager une réflexion sur le contenu que l’on partage.
Des études montrent que des plateformes comme TikTok peuvent influencer les comportements des jeunes, parfois au détriment de leur bien-être. En sanctionnant les abus, le procureur et les juges envoient un message fort : la liberté d’expression s’accompagne d’une responsabilité. Cela rappelle à chacun d’entre nous que, comme un bon chef cuisinier, il faut savoir doser les ingrédients avant de servir son plat au monde entier.
Les sanctions prononcées par les juges à Dakar ne sont pas une atteinte à la liberté d’expression, mais un appel à la responsabilité individuelle. Elles encouragent les créateurs à réfléchir avant de publier, à ne pas se laisser emporter par l’excitation du moment. Alors, mes chers lecteurs, la prochaine fois que vous vous apprêtez à poster une vidéo, demandez-vous : est-ce que je veux vraiment être la star d’un procès ?
Engagez-vous à partager ce message et à encourager vos amis créateurs à réfléchir avant de publier. Après tout, la créativité ne doit pas rimer avec irresponsabilité !
Article opinion écrit par la créatrice de contenu : Fatima G.
Mis en ligne : 28/10/2025
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