La semaine dernière, deux églises du centre de Strasbourg, Saint-Pierre-le-Vieux et Saint-Jean, ont été la cible de dégradations inacceptables, avec des projections d’excréments sur leurs murs. Cet acte a suscité à la fois choc et indignation parmi les fidèles et les responsables de la ville.
La maire écologiste, Jeanne Barseghian, a condamné « avec la plus grande fermeté toute atteinte à la liberté de culte », affirmant qu’elle prenait « très au sérieux la situation » dans un communiqué.
Les forces de l’ordre ont immédiatement lancé une recherche active pour retrouver l’auteur de ces actes. Grâce à un signalement d’un témoin, un descriptif de l’individu a été communiqué aux autorités. Il a finalement été appréhendé en Allemagne.
Selon la police du Bas-Rhin, qui a partagé l’information sur le réseau social X, « l’individu, qui présente des troubles psychiatriques, a été interpellé par nos homologues de la police allemande et hospitalisé d’office ». Cet incident soulève des questions sur la protection des lieux de culte et la santé mentale des individus impliqués dans de tels actes de violence.
Article écrit par : Emmanuel Ndour
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