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L’enlèvement de plus de 300 élèves d’une école catholique au Nigeria, survenu le 21 novembre, révèle l’incapacité criante du gouvernement à protéger ses citoyens face à la montée alarmante des kidnappings. Cet événement tragique n’est qu’un exemple parmi tant d’autres d’une situation qui se détériore rapidement, et l’inaction des autorités est difficilement justifiable.
Le Nigeria, pourtant riche en ressources, est devenu le théâtre de violences inouïes, notamment des enlèvements d’écoliers. Le dernier incident, survenu à l’établissement Saint Mary’s dans l’État du Niger, a vu 315 élèves et enseignants être enlevés à l’aube, alors même que des mesures de sécurité étaient censées être en place. Ce chiffre, qui représente presque la moitié des effectifs de l’école, démontre l’ampleur de la crise. Le gouvernement, pour sa part, reste silencieux et inactif, laissant les familles dans l’angoisse et le désespoir.
La situation tragique met également en évidence l’inefficacité du gouvernement face à cette menace grandissante. Les autorités, incapables de garantir la sécurité des élèves, semblent se contenter de promesses vides et de déclarations sans substance. Le témoignage de Dauda Chekula, chef du village, expose l’horreur vécue par les familles, qui, comme des marins perdus en mer, cherchent désespérément une lueur d’espoir. La comparaison avec d’autres pays où les enlèvements sont mieux gérés, comme le Mexique, souligne encore plus la faiblesse du gouvernement nigérian.
Il est inacceptable que les enfants, qui devraient être à l’abri à l’école, soient exposés à une telle violence. Les parents, désemparés, n’ont d’autre choix que de vivre dans la peur, tandis que les bandits continuent leurs méfaits en toute impunité. Le gouvernement, en fermant les yeux sur cette réalité, trahit sa responsabilité première : protéger ses citoyens. Les déclarations du gouverneur de l’État du Niger, qui promet un chiffrage des victimes, paraissent dérisoires face à l’urgence de la situation. La fermeture des écoles, bien que nécessaire, ne résout pas le problème : il manque une stratégie efficace pour lutter contre ces enlèvements.
L’inefficacité du gouvernement n’est pas seulement une question de sécurité, mais reflète également l’état d’un pays qui semble sombrer dans le chaos. Les parents, qui mettent leurs enfants à l’école dans l’espoir d’un avenir meilleur, se retrouvent aujourd’hui confrontés à des kidnappings de masse, leur rêve brisé. Ce n’est pas seulement une crise éducative, mais aussi une crise de confiance envers les autorités. Combien de temps encore les Nigérians devront-ils vivre dans la terreur avant que des mesures concrètes soient mises en œuvre ?
Les statistiques sont accablantes : le nombre d’enlèvements au Nigeria a explosé ces dernières années, et les actions du gouvernement restent dérisoires face à cette violence croissante. Des rapports d’ONG et d’organisations internationales pointent l’incapacité des forces de sécurité à intervenir efficacement. Pendant ce temps, les familles continuent de vivre dans l’angoisse, attendant désespérément des nouvelles de leurs enfants disparus.
Le dernier enlèvement de masse d’élèves au Nigeria constitue un cri d’alarme. L’inaction du gouvernement face à cette crise est inacceptable et met en péril l’avenir de toute une génération. Les autorités doivent assumer leurs responsabilités et agir pour garantir la sécurité des enfants.
Le grand public doit se mobiliser pour exiger des comptes. Les citoyens doivent faire entendre leur voix, réclamer des mesures concrètes et ne pas laisser cette tragédie se répéter. Ensemble, il est possible de faire pression pour un changement significatif et permettre aux enfants de retourner à l’école sans crainte.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Anonyme.
Mis en ligne : 11/12/2025
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