Les résidus chimiques présents sur nos fruits, légumes et céréales sont une menace souvent négligée. Issus principalement des pesticides utilisés en agriculture, ces particules persistantes peuvent se retrouver dans nos assiettes bien après la récolte.
Malgré les lavages ou les traitements post-récolte, ils ne disparaissent pas entièrement et s’accumulent dans l’organisme au fil du temps.
Ces substances, invisibles à l’œil nu, peuvent avoir des effets dévastateurs sur la santé. Plusieurs études ont établi un lien entre l’exposition à long terme aux résidus de pesticides et des maladies chroniques comme le cancer, les troubles hormonaux et les dysfonctionnements du système nerveux.
Les enfants sont particulièrement vulnérables, car leur système en développement est plus sensible aux toxines, notamment aux perturbateurs endocriniens présents dans certains pesticides.
Face à ces dangers, les régulations varient, mais les tolérances maximales ne suffisent pas toujours à éliminer les risques. Les consommateurs, de plus en plus conscients, se tournent vers des alternatives biologiques, où l’usage de produits chimiques est limité.
Il devient crucial d’encourager des pratiques agricoles durables pour réduire l’exposition à ces résidus et protéger la santé publique à long terme.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Laye
Mis en ligne : 04/11/2024
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