Le tabac a de nombreux effets néfastes sur l’organisme. Il endommage les poumons, augmentant ainsi le risque de maladies comme la bronchite chronique, la pneumonie et le cancer du poumon.
Il favorise également les maladies cardiovasculaires en augmentant les risques de maladies cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et d’hypertension, car il contribue à l’accumulation de plaque dans les artères, un phénomène appelé athérosclérose.
Le tabagisme est la principale cause de plusieurs types de cancers, notamment ceux des poumons, de la gorge, de la bouche, du pancréas et de la vessie. Il affaiblit le système immunitaire, diminuant la capacité de défense de l’organisme et le rendant plus vulnérable aux infections. Chez les femmes, il peut entraîner des difficultés à concevoir, tandis que chez les hommes, il peut provoquer des troubles de la fertilité.
De plus, le tabac accélère le vieillissement de la peau, provoquant rides et teint terne. Il a également un impact négatif sur la santé bucco-dentaire, causant des maladies des gencives, une mauvaise haleine, et augmentant le risque de caries et de perte de dents.
Enfin, la nicotine contenue dans le tabac crée une forte dépendance, rendant son arrêt particulièrement difficile. En résumé, le tabac cause des dommages à long terme sur presque tous les systèmes du corps, entraînant de graves problèmes de santé.
La différence entre un poumon sain et un poumon malade se manifeste principalement dans l’apparence et le fonctionnement des tissus pulmonaires. Un poumon sain est généralement de couleur rose ou légèrement rougeâtre. Il possède une texture spongieuse et élastique, permettant aux alvéoles pulmonaires de se dilater et de se contracter efficacement pendant la respiration. Bien oxygéné, il fonctionne correctement pour fournir de l’oxygène à tout le corps et éliminer le dioxyde de carbone.
En revanche, un poumon malade présente souvent une couleur altérée, devenant plus sombre, grisâtre ou noire à cause de l’accumulation de substances comme la fumée de cigarette ou des infections. Sa texture peut être plus dure, avec des cicatrices ou des zones d’inflammation, ce qui affecte la capacité de ventilation et d’échange gazeux.
Dans des maladies comme la pneumonie, l’asthme ou la BPCO, les alvéoles peuvent se remplir de liquide ou de mucus, rendant la respiration plus difficile. Ces problèmes affaiblissent les fonctions respiratoires et réduisent la capacité des poumons à fournir de l’oxygène efficacement.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : François Séne
Mis en ligne : 31/12/2024
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