Aïssatou Diop Fall a récemment pris la décision de présenter des excuses publiques à Sambou Biagui et aux jeunes reporters, un geste de réconciliation qui a été accueilli positivement.
Ce mea culpa a permis de clore un différend, notamment avec le retrait de la plainte que l’ARPL (Association des Responsables de la Presse en Ligne) avait déposée à son encontre. Cette issue apaisée a été un soulagement, contribuant à calmer les tensions qui avaient envenimé la situation.
Dans un autre registre, une autre affaire a récemment marqué l’actualité. La plateforme Publicsn, qui avait été épinglée pour des violations de droits d’auteur, a été bannie de YouTube. Cette action faisait suite à une plainte collective qui visait la plateforme, mais cette dernière a été retirée, marquant ainsi un revirement positif.
Pour mieux comprendre les enjeux de ces événements, il est essentiel de revenir sur la genèse du conflit. L’ARPL a été créée par plusieurs responsables de sites de presse en ligne, qui se sont récemment réunis à la Maison de la Presse.
Lors de cette rencontre, ils ont eu l’opportunité de présenter leur structure au directeur général de l’ARPL, Sambou Biagui, tout en sollicitant ses conseils. Cependant, une photo de groupe prise lors de cet événement a donné lieu à des commentaires acerbes de la part d’Aïssatou Diop Fall. Elle avait alors qualifié les journalistes présents de « presse de merde au service de Biagui et des autorités », des propos qui avaient envenimé la situation.
Article écrit par : Amadou Diop
Mis en ligne : 24/01/2025
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