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L’histoire relatée est celle d’Astou, entretenant, depuis cinq ans, une relation avec un homme marié. Elle raconte avoir volontairement perturbé la vie conjugale de ce dernier, multipliant insultes et provocations envers son épouse. Malgré les promesses répétées de mariage, Astou a interrompu à plusieurs reprises des grossesses issues de cette liaison, espérant sécuriser son avenir avant d’envisager un enfant. Avec le temps, le mari s’est éloigné d’elle pour se consacrer à son épouse tombée malade et enceinte.
Face à ce désengagement, Astou a menacé de divulguer des photos compromettantes, allant jusqu’à piéger l’homme pour obtenir ces clichés. Peu après, l’épouse est décédée à l’accouchement, laissant Astou dans un profond remords et des tourments psychologiques.
Ce récit illustre une réalité souvent occultée : celle des conséquences dramatiques que peuvent engendrer les relations extraconjugales nourries par la manipulation et la vengeance. Derrière les apparences d’une « vie de rêve », Astou a consciemment bâti sa relation sur la destruction d’un couple existant, en multipliant les humiliations et en instrumentalisant sa propre maternité comme levier de pouvoir. Il ne s’agit pas ici de juger moralement dans l’absolu, mais de constater que de telles stratégies, fondées sur la rancune et l’appropriation d’un homme déjà engagé, sont vouées à générer de la souffrance pour l’épouse, pour l’homme, mais aussi, au bout du compte, pour Astou elle-même.
Les faits rapportés montrent également une absence de respect des limites éthiques : insultes à répétition, divulgation de secrets intimes, menaces de chantage, usage d’un « produit » pour endormir un partenaire. Ces actes dépassent largement le cadre d’une simple rivalité amoureuse et relèvent d’une volonté assumée de nuire et de contrôler. Dans cette dynamique, même l’enfant à venir devient un enjeu stratégique, ce qui révèle une instrumentalisation de la maternité aux antipodes de sa dimension sacrée et protectrice.
Cette histoire interpelle aussi sur la responsabilité partagée de l’homme marié, qui a alimenté l’illusion en multipliant promesses et faveurs matérielles sans jamais assumer une rupture claire avec son épouse. Mais l’ampleur des gestes posés par Astou montre à quel point la haine et la jalousie peuvent transformer une relation adultérine en terrain de guerre psychologique.
Ce drame n’est pas seulement celui d’un couple éclaté, mais d’une spirale de manipulation et de violence émotionnelle qui s’est retournée contre Astou. Elle est désormais hantée par la culpabilité et l’angoisse, incarnant les conséquences inévitables d’un chemin construit sur la souffrance d’autrui. Ça fait une semaine que je n’arrive pas à dormir. Je me vois tout le temps dans les cimetières ou dans un cercueil. Il ne s’agit pas d’écraser davantage quelqu’un déjà rongé par le remords, mais de rappeler qu’aucune relation ne peut prospérer durablement sur le mensonge, le chantage et la douleur d’un tiers.
Ce récit devrait servir d’avertissement : vouloir forcer le destin au détriment des autres finit toujours par coûter cher, psychologiquement et moralement.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Anonyme.
Mis en ligne : 04/10/2025
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