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L’histoire relatée ici est aussi douloureuse que révélatrice. Un homme, animé par un profond sens du devoir conjugal, a tout fait pour répondre aux besoins de sa femme, lorsqu’elle lui a annoncé que sa mère était malade. Il a accepté de se priver pour l’aider à voyager, convaincu qu’elle se rendait auprès de sa famille. Mais ce n’était qu’un mensonge, une mise en scène soigneusement construite. La vérité, plus amère encore, a fini par éclater : sa femme n’a jamais pris la direction du village. Elle avait d’autres projets, bien loin des valeurs du mariage et de la fidélité.
En creusant, le mari découvre qu’elle est partie pour le Nigeria, sous l’emprise d’un amant qui l’avait convaincue d’abandonner sa vie pour le rejoindre. Pour couronner le tout, elle a endetté ses collègues, empruntant près de 700 000 francs CFA, sous prétexte d’un voyage à Dubaï. Mais ce “Dubaï” s’est transformé en désillusion : ce n’était qu’un prétexte pour la précipiter dans une vie qu’elle n’avait pas mesurée, celle de la prostitution forcée.
Aujourd’hui, cette femme revient par messages interposés, demandant à son mari de lui envoyer une importante somme d’argent pour rentrer. Elle sollicite également sa famille, espérant éveiller un sentiment de compassion. Mais la question se pose : mérite-t-elle encore ce secours, après tant de tromperies et de trahisons ?
Il est important d’être clair : un mariage repose avant tout sur la confiance et le respect mutuel. Ici, ces deux piliers se sont effondrés. Mentir à son conjoint, manipuler ses collègues, et choisir de suivre un amant au détriment de son foyer et de son enfant de cinq ans, ce n’est pas une simple erreur. C’est un choix volontaire, mû par l’avidité, l’illusion d’une vie meilleure, et l’indifférence totale aux conséquences pour sa famille.
Il serait injuste de demander à cet homme de se sacrifier une seconde fois pour une femme qui a brisé tout lien de loyauté. Certes, on peut compatir à son sort actuel : elle est sans doute tombée dans un piège qu’elle n’avait pas anticipé. Mais il faut distinguer la compassion de la naïveté. Rien ne dit qu’une fois rentrée, elle ne replongerait pas dans les mêmes travers.
Dans cette affaire, la priorité doit être la petite fille. C’est elle qui a besoin de stabilité, de repères, et d’un parent qui lui montre qu’on peut être digne de confiance. Reprendre une femme qui a déjà sacrifié son foyer pour une illusion serait une condamnation silencieuse pour l’avenir de cet enfant.
La vérité est dure, mais nécessaire : certaines personnes ne sont tout simplement pas faites pour le mariage. Elles manquent de loyauté, de patience et de responsabilité. Cette femme a fait son choix. Qu’elle en assume les conséquences.
À l’homme trompé, il ne reste qu’une chose à faire : reconstruire sa vie, sans elle. Sauver son honneur, protéger sa fille et tourner la page. Car parfois, pardonner revient à s’enchaîner soi-même à une souffrance sans fin.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Anonyme.
Mis en ligne : 28/09/2025
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