Dans la société sénégalaise, on a tendance à entendre chez les jeunes filles l’expression : « Yalna la yalla may jëkër ju baax » (Que Dieu fasse que tu aies un bon mari). Et aux jeunes hommes de la trentaine, on balance : « Loy xaar pour takk » (Qu’attends-tu pour prendre femme). Cependant, il est fréquent que les relations ne durent pas longtemps. En effet, pour l’année 2021, le tribunal civil de Dakar a enregistré 1 500 divorces dans la capitale.
Le maraboutage demeure un sérieux obstacle au mariage, et de nombreux couples se sont disloqués à cause de ce fléau. Sur cette question, un homme et père de famille témoigne sur des faits.
Selon ce cinquantenaire, connu sous le nom d’Abdou par ses proches, il relate son vécu. En 2017 j’avais rencontré une dame dans mon quartier xallé bi rafett machaallah ma Beug ko lol mais mom doundou ma sah yegouma. Ma amone son numéro à chaque fois ma woko téléphone mou niakal ma kerça. Sila decidé deff dieuff diou niaw dji tay ba sama aduna narci yaxou. Ma dem si sama marabou mou ligayal mako ba xallé bi topp ma. Silako také jabar yobouko sama keur. Elle vivait avec ma famille niepp di thiow ci sama jabar bi ndah sa beauté.
Mais après quelques temps hamétouma sama jabar, tassna sama keur yakal ma sama liguey bi baniou dakeu ma, nitt kou beuri seytané beugoul dray jamm. Fassé nako ba soneu elle refuses de partir. Louma geuna metti nakh nama bama dieul sama keuyitou keur deff ci touram ba legui mom moy diriger lepp saniatouma wah dra mbala moumay guené comme elle la fait avec mes parents et mes frères niepp la guené ci keur gui.
Solution la beug wala conseil louma am dieul !
Article écrit par : Pathé Ndiaye
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