Je ne sais pas dire « non » aux hommes : Une faiblesse dévorante - Notre Continent
> NOTRE CONTINENT > - Confidence | Par Eva | Publié le 05/01/2024 03:01:28

Je ne sais pas dire « non » aux hommes : Une faiblesse dévorante

Article opinion écrit par la contributrice : Philomène Mendes.
On dit de moi que je suis imposante, tant par ma taille que par ma beauté. Pourtant, cette « malédiction » m’empêche d’établir des relations durables.

Même en cherchant à dissimuler mes « échappades » amoureuses, je me fais toujours rattraper. Je suis devenue la risée du quartier, une ombre de moi-même. Je fréquentais un homme influent de la ville. Tout semblait nickel jusqu’à ce qu’un…

…de ses amis commence à me courtiser lors d’une soirée, ignorant notre relation. Il prend mon numéro et m’envoie des messages, malgré ma tentative de le repousser. Son insistance, son air déçu, brisent mon cœur.

Les événements dégénèrent lorsque deux de mes collaborateurs, tous deux épris de moi, s’affrontent violemment au travail, peut-être parce que je leur accordais une certaine attention. Cet incident me vaut une mutation, pensant que la distance calmerait mes ardeurs. Mais mes démons reprennent vite le dessus.

Je deviens une sorte de tourbillon, engloutissant tout sur mon passage. Le comble de ma « maladie » est atteint : dès que je suis avec un homme, je ressens le besoin de connaître son entourage. Le simple fait de les voir autour de lui ravive mon intérêt pour lui. Je suis consciente de mon attrait physique, une facilité qui attire toutes les attentions.

Malgré mes tentatives de rédemption comme des prières, des jeûnes, mes tourments persistaient. J’ai croisé Morice, un homme bien, croyant être enfin libérée de mes tourments. Mais malgré ses efforts, je me suis retrouvée à éplucher son cercle social. Même son frère a subi mes ba…. Aujourd’hui, je me sens perdue, un être à la dérive, au bord du gouffre de l’autodestruction.

Ma vie est devenue un carrousel infernal, un jeu où dire « non » semble être le défi le plus insurmontable. Et dans ce tourbillon de tentations, je m’accroche à une question sans réponse : pourrais-je un jour retrouver ma véritable essence, loin de cette emprise destructrice ?

Article opinion écrit par la contributrice : Philomène Mendes

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4 commentaires
malick
a wa bakhna rek digua onou tekssi sa cariére dou goudeu
Le 2024-01-05 17:11:12
jacqueline
dama beug nga deff sa bopp bi ndokh nganane je peux dire nonn
Le 2024-01-05 15:16:10
Bibish
Alors tu es malade ma chère
Le 2024-01-05 10:09:21
Thiate Seck
Yawe dé déme fadiou dji réke gua wara défe ndakhe dagua fébare wakhe tanale ake saye mbokk
Le 2024-01-05 10:08:28

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malick
a wa bakhna rek digua onou tekssi sa cariére dou goudeu
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jacqueline
dama beug nga deff sa bopp bi ndokh nganane je peux dire nonn
Le 2024-01-05 15:16:10
Bibish
Alors tu es malade ma chère
Le 2024-01-05 10:09:21
Thiate Seck
Yawe dé déme fadiou dji réke gua wara défe ndakhe dagua fébare wakhe tanale ake saye mbokk
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