Article opinion écrit par la contributrice : Georgette Badji
À l’âge de 17 ans, alors que j’étais encore étudiante, j’ai rencontré celui qui est devenu l’amour de ma vie. Après six mois de fréquentation, il a exprimé le désir de rencontrer mes parents.
Après cette rencontre, ils ont donné leur approbation à notre relation et nous nous sommes mariés un an après notre première rencontre. Notre mariage s’est déroulé dans la tradition, et j’étais fière de maintenir ma virginité conformément à l’éducation que mes parents m’avaient inculquée.
Les premières nuits après notre mariage sont passées sans événements intimes, ce qui ne me semblait pas inhabituel à l’époque. Mon mari a exprimé le souhait que je me concentre sur mes études pour réaliser de bons résultats aux examens. Une demande que j’ai acceptée avec gratitude.
Au fil des années, je suis restée fidèle, malgré les tentations auxquelles je faisais face à l’école. Bien que naïve à bien des égards, je comprenais la valeur de la fidélité et je n’ai jamais envisagé de tromper mon mari, car il était l’unique homme que j’aimais. J’ai réalisé que ma virginité avait peut-être prolongé cette fidélité, car je n’avais pas conscience des implications de la relation sexuelle.
Cinq années se sont écoulées depuis notre mariage, mais notre relation intime n’a jamais eu lieu, même une seule fois. Cela suscite des interrogations de la part de nos familles sur l’absence d’enfants, ignorant que mon mari n’a jamais cherché à établir une relation intime avec moi et que je suis toujours vierge.
Article opinion écrit par la contributrice : Georgette Badji
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