Article opinion écrit par la contributrice : Riane Ndiaye
Dans la société sénégalaise, l’éducation est comme un pilier fondamental du progrès et du développement. Les universités, en tant que gardiennes du savoir et moteurs de l’innovation, devraient incarner cet idéal.
Cependant, une ombre sombre plane sur ces institutions prestigieuses : la corruption morale et la médiocrité qui gangrènent leur essence même.
Dans ce problème se trouvent certaines autorités universitaires, telles que les recteurs, les directeurs et les chefs de service. Ces individus identifiés sont comme les promoteurs de pratiques corrompues et de favoritisme.
L’un des aspects les plus préoccupants de cette situation est la composition des équipes administratives et professorales. Au lieu de choisir des candidats sur la base de leur compétence, ces autorités s’appuient souvent sur des relations personnelles. En conséquence, des personnes peu qualifiées occupent ce poste, mais politiquement bien connectés.
Cette pratique insidieuse a des répercussions dévastatrices sur la qualité de l’enseignement et de la recherche dans les universités sénégalaises. Non seulement elle crée un environnement où le favoritisme prime sur le mérite, mais elle mine également la confiance du public dans le système éducatif. Les étudiants et les membres du corps professoral se battent pour l’excellence mais manquent de chances.
Pour remédier à cette situation, on doit prendre des décisions. En effet, la mise en place de transparence et de responsabilité pour garantir que les décisions de recrutement et de promotion sont fondées sur le mérite et l’expertise professionnelle.
Article opinion écrit par la contributrice : Riane Ndiaye
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