Article opinion écrit par la contributrice : Yaye Fatou Dabo
Au cours de la récente campagne électorale, le nom d’Amadou Ba a été traîné dans la boue, accusé de tous les maux, comme si sa simple présence évoquait un sombre épisode de corruption et de malversation.
Pourtant, malgré les accusations lancées avec véhémence, son nom ne figure étrangement dans aucun des rapports publiés. De ce fait, cette omission soulève une question troublante : et si les gens se sont trompés ?
Il est facile de se laisser emporter par l’effervescence électorale, de céder aux rumeurs et aux accusations sans fondement, surtout lorsqu’elles concernent des personnalités politiques. Mais en tant que citoyens, il est de notre devoir de faire preuve de discernement et de retenue, de ne pas céder à la tentation de juger sans preuves tangibles.
Amadou Ba, comme tout individu, mérite le bénéfice du doute jusqu’à preuve du contraire. On doit examiner les allégations portées contre lui avec objectivité et rigueur, en se basant sur des faits vérifiables plutôt que sur des conjectures ou des préjugés.
En alimentant le feu de la calomnie sans fondement, nous risquons de porter atteinte à la réputation et à l’intégrité de personnes innocentes, tout en détournant l’attention des véritables problèmes qui nécessitent une action urgente.
Dans un climat politique où la diffamation et la manipulation sont monnaie courante, il est impératif de cultiver un esprit critique et de remettre en question les discours simplistes qui cherchent à diaboliser des individus sans preuves tangibles.
Article opinion écrit par la contributrice : Yaye Fatou Dabo
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