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Récemment, Alioune Tine, le fondateur d’Afrikajom Center, a partagé sur X une réflexion apaisée concernant la dette publique du Sénégal. À travers son analyse, il appelle à dédramatiser cette question cruciale, une position que je soutiens pleinement. En effet, il faut voir la dette non pas comme un fardeau, mais comme une opportunité pour propulser notre pays vers un avenir radieux.
La question de la dette publique est souvent perçue comme un sujet tabou, suscitant craintes et inquiétudes parmi les citoyens. Pourtant, ce débat est essentiel pour l’avenir économique du Sénégal. Avec un taux d’endettement qui inquiète certains observateurs, il faut replacer cette problématique dans son contexte. Le Sénégal, riche de ses ressources naturelles et de son capital humain, possède les atouts nécessaires pour gérer sa dette de manière efficace.
Dans son intervention, Alioune Tine souligne que la situation actuelle n’est pas alarmante. En effet, il affirme que “la dette est soutenable”, une déclaration qui mérite d’être examinée de près. À l’instar d’un athlète qui, après une blessure, doit réévaluer son entraînement pour revenir plus fort, le Sénégal doit également repenser sa stratégie économique. Tine insiste sur l’importance de “dédramatiser le débat sur la dette”, une approche qui pourrait transformer la perception du public et ouvrir la voie à des solutions innovantes.
Premièrement, il faut reconnaître que la dette, lorsqu’elle est bien gérée, peut être un levier de développement. Elle permet d’investir dans des infrastructures, l’éducation et la santé, des secteurs qui renforcent notre résilience économique. Deuxièmement, le Sénégal possède une richesse naturelle inestimable, notamment dans les secteurs minier et agricole, qui, s’ils sont exploités de manière durable, peuvent générer des revenus significatifs pour le pays. Enfin, notre capital humain est une ressource précieuse. Avec une jeunesse dynamique et entreprenante, le Sénégal a le potentiel de se hisser au « top niveau », comme le souligne Tine.
Adopter une vision positive et motivante pour les générations futures est essentiel. Imaginez un Sénégal où chaque jeune a accès à des opportunités d’emploi, où l’innovation et l’entrepreneuriat sont encouragés. En regardant la situation actuelle sous un angle optimiste, nous pouvons inspirer la confiance et l’engagement des citoyens. Au lieu de céder à la panique, nous devons encourager un dialogue constructif sur la gestion de la dette, en mettant en avant des exemples de pays qui ont su transformer des défis similaires en succès retentissants.
Pour soutenir cette vision, il faut se pencher sur des exemples concrets. Prenons l’exemple du Rwanda, qui, après un génocide dévastateur, a su reconstruire son économie grâce à une gestion rigoureuse de sa dette et à des investissements stratégiques. Le Sénégal peut s’inspirer de tels modèles, en tirant parti de ses propres atouts pour bâtir un avenir solide. De plus, des études montrent que les pays qui investissent dans leur capital humain et leurs infrastructures voient une croissance économique significative, réduisant ainsi leur dépendance à l’égard de la dette.
La déclaration d’Alioune Tine résonne comme un appel à l’action. Plutôt que de céder à la fatalité, adoptons une approche rationnelle et confiante face à notre dette. Le Sénégal a les ressources nécessaires pour surmonter ses défis financiers et se projeter vers un avenir prometteur.
Chers lecteurs, rejoignons ce mouvement de pensée positive. Engageons-nous à dédramatiser le débat sur la dette et à construire un Sénégal où chaque citoyen participe activement à son avenir. Ensemble, faisons de notre pays un exemple de résilience et de succès pour les générations futures.
Article opinion écrit par le créateur de contenu : Pape Gueye.
Mis en ligne : 03/11/2025
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